Séminaire "Figures Médiatiques de la représentation", Paris, 15 mars 2013
Le 15 mars prochain à 10h à l’Université Paris I Sorbonne, séminaire autour du livre d’Aurélie Olivesi, Implicitement
sexiste ? Genre, politique et discours journalistique paru en 2012 aux Presses Universitaires du Mirail dans la collection Le Temps du Genre. L’auteure nous présentera la démarche directrice de son ouvrage. Mélanie Lallet, Doctorante contractuelle à l’Université Sorbonne Nouvelle, introduira ensuite des éléments de discussion, qui laisseront place à des échanges avec le public. L’entrée est libre et gratuite, sans réservation préalable.Université Paris I Sorbonne, Salle 1, 12 place du
Panthéon, Paris 5e (RER Luxembourg, M°Odéon).Lire la suite
Séminaire "Identités numériques", 19 février 2013
Enjeux socio-politiques de la recherche d’information sur Internet
Dominique Cardon, Laboratoire SENSE, Orange Labs
« D’une métrique des documents aux métriques des personnes : le PageRank et le web social » Dans cette communication, on proposera une réflexion sur les propriétés organisationnelles, et notamment algorithmiques, de l’espace public numérique. Le web que nous connaissons ne serait pas le même s’il n’avait pas été profondément nourrie, domestiquée et organisée par l’algorithme qui le classe. L’organisation du web par les métriques de classement ne cesse d’interagir avec la forme des énonciations dont le web fait document. C’est parce que ces documents s’adressent entre (...) Lire la suiteSéminaire "Télévision, source, objet, écriture de l’histoire/ Cultures télévisuelles" programme second semestre
Programme SEMINAIRE
2012-2013-2e semestre du 1er février au 19 avril 2013 animé par
CATHERINE BERTHO LAVENIR,[CBL] Professeure, Histoire culturelle, Département de médiation
culturelle, Sorbonne nouvelle-Paris 3EVELYNE COHEN,[EC] Professeure, Histoire et anthropologie culturelles -XXe siècle (Université de
Lyon-Enssib)Les séances ont lieu le vendredi de 10 H à 12 H 30, selon calendrier, à l’université Paris Diderot
Paris 7, site Paris rive gauche 11 rue Antoine de Baïf (plan joint)Lieu : bâtiment Olympe de Gouges salle 117
Contacts : Lire la suite
Séminaire "Mutation des industries culturelles à l’ère du numérique" programme 2012-2013
Les activités culturelles ont déjà connu par le passé des révolutions ou des modifications de leur « écologie ». La numérisation des contenus et la généralisation d’Internet ont généré des transformations qui ont modifié les équilibres sur chacun des différents maillons de la chaîne de valeur (création, production, édition, promotion, distribution, exploitation), mais qui ont aussi bouleversé l’organisation de l’ensemble de la production.
Qu’en est-il de la « démocratisation » de la création et de l’accès aux carrières artistiques ? Si le web génère une émulsion et une innovation dans la création, celles-ci passent-elles l’étape du marché, ou bien la consommation (...) Lire la suite
Séminaire du Groupe de recherches en histoire et esthétique du cinéma documentaire (GRHED) programme 2012-2013
Cinéma documentaire de lutte. Théories, formes d’engagements et d’émancipations
Depuis sa création en janvier 2010, le GRHED – Groupe de Recherches en histoire et Esthétique du cinéma Documentaire - propose un parcours et une analyse historique du cinéma du réel comme lutte, et tente ainsi de cerner la notion d’engagement dans le champ complexe du documentaire. Le réel offre un champ infini d’observation, d’interrogation, d’analyse et d’interprétation qui, depuis les premiers temps, anime de nombreux réalisateurs. Loin de réduire le cinéma documentaire à une catégorie définie et unique, nous l’avons envisagé dans tous ses possibles transversaux (fiction documentaire, fiction ou vidéo documentée par l’emploi d’archives etc.) Le GRHED est animé par la volonté d’observer et d’étudier ces images comme matériau dynamique d’un document engagé dans l’Histoire.
Présentation
Le GRHED souhaite promouvoir les travaux en cours des jeunes chercheurs et favoriser le dialogue entre les universités.
Le GRHED est parrainé par le CERHEC (Centre d’études et de recherches en histoire et esthétique du cinéma), laboratoire de l’université Paris 1, Panthéon Sorbonne en étroite collaboration avec l’équipe d’accueil Histoire culturelle et sociale de l’art HiCSA (composante E4100).
Valoriser et diffuser les travaux des jeunes chercheurs portant sur l’histoire, l’esthétique et les usages du cinéma documentaire. Cette année universitaire sera particulièrement marquée par le partenariat mis en place avec le département de l’audiovisuel de la Bibliothèque nationale de France. Certaines séances du GRHED se dérouleront à la BNF et les interventions des membres seront basées sur les collections documentaires du département dirigé par Alain Carou et sa collaboratrice Brigitte Loret.
Horaires des séances et projections : 17h30 à 20h Lieux : Salle AVD 133 – Institut National d’histoire de l’art – Paris & Salle en mezzanine de la salle P – département de l’audiovisuel – Bibliothèque Nationale de France.
Le GRHED
Depuis sa création en janvier 2010, le GRHED – Groupe de Recherches en histoire et Esthétique du cinéma Documentaire - propose un parcours et une analyse historique du cinéma du réel comme lutte, et tente ainsi de cerner la notion d’engagement dans le champ complexe du documentaire. Le réel offre un champ infini d’observation, d’interrogation, d’analyse et d’interprétation qui, depuis les premiers temps, anime de nombreux réalisateurs. Loin de réduire le cinéma documentaire à une catégorie définie et unique, nous l’avons envisagé dans tous ses possibles transversaux (fiction documentaire, fiction ou vidéo documentée par l’emploi d’archives etc.) Le GRHED est animé par la volonté d’observer et d’étudier ces images comme matériau dynamique d’un document engagé dans l’Histoire.
Notre groupe de recherches valorise le documentaire engagé, consacré comme un cinéma d’ouverture, qui mêle, entremêle, démêle, avec application et méthode, avec pudeur ou colère, par le cri ou la confidence, les différents points de vue, les affirmations, les interrogations, les doutes. Au-delà de tout clivage, nous l’envisageons comme une pratique cinématographique qui construit (dans l’idéal) des passerelles entre nos acquis. Le documentaire oppose pour relier, affirme pour provoquer, il tend à assumer son rôle de passeur d’images et d’idées dans une résistance matérialisée au réel : le film. Le cinéma documentaire permet un rapport à la réalité immédiate et concrète avec le spectateur, lequel se trouve projeté dans le réel en même temps qu’on lui projette des images. Le documentaire choisit de nous laisser dans le réel, même si ce réel est exposé à travers le prisme du regard du réalisateur d’où émane une autre réalité (la sienne) à partir d’un réel déterminé puis recomposé.
Les programmations passées ont élaboré un espace de réflexion autour de la notion d’engagement, terme et valeur, qui connait de multiples résonances. Le cinéma de lutte nous est apparu comme un espace privilégié de métissage, de réflexion, de rencontres et de possibles documentaires. Ce cinéma engagé n’est pas envisagé uniquement comme un acte de revendication et/ou de dénonciation, il peut représenter, exposer un rapport (son rapport) avec la réalité immédiate du cinéaste, des individus et des événements filmés. Ainsi, le GRHED encourage une réflexion sur le rapport aux autres par l’image animée, mais également, au-delà des images, une attention à l’Histoire : le pourquoi des hommes, ceux qui filment, ceux qui sont filmés. Il s’agit, au final, d’encadrer la notion d’histoire de l’engagement dans une réflexion cinématographique.
La notion de documentaire engagé évoque le souci du rapport à l’argent et au public, intrinsèquement liés. Notre groupe de recherches pense le film comme un outil social et historique, plutôt que comme une fin. C’est pourquoi, les réunions du GRHED tentent de privilégier la projection de films rares dans leur intégralité (André Sauvage, Danielle Jaeggi, Raymond Vaugel et Jean-Jacques Sirkis, Sergio Bianchi et prochainement Rui Simões, Jang Sun-woo, Eduardo Coutinho). Ainsi, le GRHED échappe à une approche « spectaculaire » de la projection, valorisant une relation plus intime et plus directe aux images, afin que, si elles nous touchent, nous puissions aussi les atteindre.
Programmation : Johanna Cappi (Paris 3 Sorbonne Nouvelle – IRCAV – CRECI) avec la collaboration de Catherine Roudé (Paris 1 Panthéon Sorbonne – CERHEC) Contact : grhed@hotmail.fr
Programme
11 octobre 2012. Ouverture du cycle à la BNF
Cette séance mettra en lumière ce moment de grande agitation créative à Bahia, fondateur de la Bossa Nova, du Cinema Novo et du Tropicalisme et, à partir de ces trois court-métrages prémonitoires, cherchera à donner quelques clés pour une réflexion future sur les directions esthétiques prises par le cinéma brésilien, un cinéma né d’une nécessité.
22 octobre 2012. Séance d’ouverture à l’INHA.
La séance propose de montrer comment la coexistence de divers systèmes et formes de représentation cinématographiques (la reconstitution, le témoignage, le direct cinéma, la fiction, l’animation, etc.) fait de “Los Rubios” une œuvre incontournable du point de vue formel et, en même temps, symptomatique des changements politiques et idéologiques en cours dans les années 2000 en Argentine. R.S
19 novembre 2012. Séance INHA
17 décembre 2012. Séance INHA
Olivier Hadouchi, docteur en études cinématographiques de l’université Paris III, Sorbonne Nouvelle/ IRCAV. Séance dédiée à Ugo Ulive, grand metteur en scène de théâtre venezuélien d’origine uruguayenne, auteur de plusieurs pièces, il tourna des films en Uruguay (son pays d’origine) tels que Como el Uruguay no hay en 1960 (considéré comme l’une des « premières satires politiques en Amérique latine »), à Cuba (Crónica cubana, 1963) et au Venezuela (Caracas dos o tres cosas, Basta, Diamantes, TO3.
Projection de 4 films d’Ugo Ulive : Como el Uruguay no hay (1960), en espagnol (Uruguay) sans sous-titres, Diamantes (1969), Caracas… dos o tres cosas (1969), Basta(1969). « Basta nous confronte à un univers angoissant et cauchemardesque (asile psychiatrique, autopsie dans une morgue, ville dénaturée par la publicité agressive), entrecoupé d’images de guérilla. » ; « Basta ! est un film éminemment expérimental. Par l’intermédiaire de symboles violents (utilisant librement le concept de cruauté d’Artaud), quelques-unes des conséquences de l’organisation sociale actuelle en Amérique Latine sont exposées : l’aliénation de l’être humain, marginalisé et chosifié, et la présence constante de l’impérialisme vu comme un viol.” (Propos d’Ugo Ulive traduits par Olivier Hadouchi)
10 janvier 2013. Séance BNF
21 janvier 2013. Séance INHA
7 février 2013. Séance BNF
11 avril 2013. Séance BNF
17 juin 2013. Séance INHA
Chiara Rubessi, doctorante rattachée à l’unité de recherches Traverse 19/21, Université Stendhal-Grenoble III. Présentation de Overlook hotel (2011) par les réalisateurs Lemnaouer Ahmine, Francesco Cannito et Luca Cusani. “Depuis le début de l’année 2011, en raison de la situation en Afrique du Nord, plus de 50.000 personnes ont débarqué par bateau vers l’île italienne de Lampedusa. 13.000 d’entre eux ont été renvoyés en Afrique, 15.000 ont obtenu le statut de réfugié, tandis que 22.000 ont été accueillis dans des structures inadéquates, en attendant la reconnaissance du statut de réfugié. 116 de ces personnes sont hébergées dans plus de quatre mois dans un hôtel abandonné sur le sommet des Alpes italiennes. Ils sont complètement isolés du reste du monde et ils ne savent pas si ils seront expulsés ou enfin reconnus. Ils vivent une vie suspendue alors que l’hiver est à venir et que le danger pour leur sécurité augmente.” Overlook Hotel, 2011
Séminaire "Figures Médiatiques de la représentation" , Paris, 19 février 2013
Tous mauvais, les patrons de presse ?
Séance du séminaire "Figures Médiatiques de la représentation", le 19 février prochain à 10h au site Pouchet du CNRS.
Invité : Jean Stern, auteur du livre "Les patrons de la presse nationale, tous mauvais (La Fabrique, 2012). Discutant : Franck Rebillard, professeur d’information-communication à l’université Paris 3, spécialiste de la socio-économie des médias.
Le rachat des journaux régionaux du groupe La Provence par l’homme d’affaire Bernard Tapie a récemment alimenté, dans le milieu politique, un débat sur les arrière-pensées qui pourraient avoir (...) Lire la suite
Atelier "Genre et Médias", Paris, 31 janvier 2013
Deuxième séance de l’atelier
"Genre et Médias"Thème presse et genre
Avec
Claude Fandjo « Notion de genre
dans des caricatures politiques de Zapiro en Afrique du Sud »Isabelle Matamoros « La presse féminine des années 1830 : les
ambiguïtés d’un genre »Le 31 janvier de
18h à 20h à la MIE (maison des initiatives étudiantes)50, rue des
tournelles – 75003 Paris.L’atelier est ouvert à toute personne intéressée
contact : mary.valzema@hotmail.com (...) Lire la suite