Jamil DAKHLIA
Colloques
Le Temps des médias n° 33, Hiver 2019, p. 250-257.Colloque « Vers une nouvelle culture de la communication politique ? », Irméccen, ED 267 Arts et Médias, Université de la Sorbonne Nouvelle – Paris 3, 15-16 mai 2019. Conférence internationale « Solidarités transnationales et culture visuelle : résistance et mémoires révolutionnaires de la seconde guerre mondiale à la guerre froide ». Maison des Sciences de l’Homme, Université Grenoble Alpes, 24 et 25 (...)
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Le Temps des médias n° 33, Hiver 2019, p. 245-249.Journée d’étude : « La télévision de l’ère Chaban-Delmas/Desgraupes (1969-1972). Parenthèse libérale ou tournant décisif ? », INA et Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Auditorium du 103, rue de Grenelle, 75007 Paris, 20 septembre 2019. Journée d’étude « Corps Républicain, corps déviants », Cemti, Université Paris 8 – Maison de la (...)
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Le Temps des médias n° 33, Hiver 2019, p. 235-244.Lisa Bolz, Le journalisme au second degré. L’émergence de la dépêche télégraphique d’agence comme nouveau format d’écriture dans la presse française et allemande du XIXe siècle (1849-1870), Sorbonne Université et Université de Münster (sous la direction d’Adeline Wrona et Armin Scholl), 12 février 2019. Raissa Brescia dos Reis, L’Afrique imaginée : histoire intellectuelle, panafricanisme, nation et unité (...)
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Le Temps des médias n° 32, Printemps 2019, p. 247-256.Coordination : Jamil Dakhlia Jessica Kohn, « Travailler dans les Petits Mickeys » : les dessinateurs-illustrateurs en France et en Belgique de 1945 à 1968, Université de la Sorbonne Nouvelle – Paris 3 (dir. Laurent Martin et Jean-Paul Gabilliet), 11 juin 2018. Jean-Sébastien Barbeau, La production des blogs journalistiques sur les sites web des quotidiens nationaux français et québécois, (...)
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Le Temps des médias n° 26, Printemps 2016, p. 6-25.Les polémiques récentes concernant l’histoire des relations entre la France et l’Afrique donnent le sentiment d’une visibilité croissante de ce type de débats au sein de l’espace public français. Qu’il s’agisse du combat mené par de nombreux intellectuels contre la vision de l’Afrique portée par le « discours de Dakar » (2007), des controverses qui ont entouré la loi de février 2005 sur le rôle positif de (...)
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Le Temps des médias n°19, Automne 2012, p. 5-11.Quelle que soit l’époque, l’amour est pris dans un jeu d’oppositions, visant à faire le départ entre un amour juste et un amour répréhensible : l’Occident médiéval distingue par exemple amor, « passion sauvage, violente, condamnable » et caritas, « bon, bel amour […] qui signifiait le soin accordé au prochain, au pauvre, au malade », redoublant ainsi, peu ou prou, l’antagonisme entre éros d’une part, né du (...)
>> Lire la totalité de l'articleSéminaire
Le Temps des médias n°14, Printemps 2010, p. 260-261.« La presse magazine, source et objet d’histoire », Centre d’Histoire de Sciences-Po
>> Lire la totalité de l'articleInformation people : les hommes politiques, victimes ou responsables ? Entretien avec Gérard Leclerc et Valérie Domain
Le Temps des médias n°10, printemps 2008, p.209-217>> Acheter cet article sur CAIRN
Les États-Unis, patrie de la peopolisation politique ? Entretien avec Divina Frau-Meigs et Jacques Portes
Le Temps des médias n°10, printemps 2008, p.197-208>> Acheter cet article sur CAIRN
La représentation politique à l’épreuve du people : élus, médias et peopolisation en France dans les années 2000
Le Temps des médias n°10, printemps 2008, p.66-81En quoi la peopolisation de la vie politique rompt-elle, dans les années 2000, avec la personnalisation du pouvoir inhérente à la Ve République ? Marque-t-elle la fin de l’« exception française » d’opacité de la vie privée des élus ? Un retour sur le traitement médiatique des principales « affaires » de la peopolisation permet de mesurer l’originalité du phénomène et de cerner les déplacements qu’il implique entre magazines people, classe politique, et journalisme « de qualité ». L’initiative de la vedettisation et de l’exhibition de l’intimité revient presque toujours aux médias généralistes ou aux responsables politiques eux-mêmes. Plus que le moteur, la presse échotière constitue une matrice de la peopolisation, mobilisant une approche essentiellement esthétique de la représentation politique.